Fans de robotique, attention, revoilà Cheetah, le robot guépard. On a déjà mentionné ici le premier prototype, le « robot guépard » sauteur de haies. Ce dernier a été mis au point par des chercheurs du prestigieux MIT américain, le Massachusetts Institute of Technology. La version dont il s’agit aujourd’hui, s’appelle Cheetah 2 : elle est updatée, plus performante, améliorée. Si le premier modèle avait « battu le record du monde de vitesse au sol dans la catégorie robotique », rappelle le site de 20 Minutes.fr, son successeur court à la vitesse de 48 kilomètres à l’heure. On dit même qu’à ce rythme, il ne court plus, il galope ! Surtout, en terme d’énergie, les scientifiques sont à l’origine d’une véritable prouesse : Cheetah 2 ne dépense presque pas d’énergie. À titre de comparaison, moins qu’un four à micro-ondes !
Cheetah nouvelle version, c’est un robot encore plus sauteur que le spécimen précédent : une nouvelle vidéo le montre en effet repérer puis sauter des obstacles de 40 centimètres de haut. Question franchissement des barrières placées devant lui, il se défend très bien : sur un tapis roulant, il esquive les uns après les autres les obstacles qui obstruent sa progression, aussi bien qu’un athlète lancé sur un 110 mètres haies. Contrairement à l’athlète, le robot est bourré de capteurs lasers qui lui permettent de détecter la distance entre lui et les obstacles, ainsi que leur volume. Le but de Cheetah, rappelons-le, est avant tout philanthropique : à terme, il devra servir pour des opérations de sauvetage dans des environnements inhospitaliers ou impraticables pour l’homme. Un robot pour sauver des vies, en somme.
Cheetah nouvelle version, c’est un robot encore plus sauteur que le spécimen précédent : une nouvelle vidéo le montre en effet repérer puis sauter des obstacles de 40 centimètres de haut. Question franchissement des barrières placées devant lui, il se défend très bien : sur un tapis roulant, il esquive les uns après les autres les obstacles qui obstruent sa progression, aussi bien qu’un athlète lancé sur un 110 mètres haies. Contrairement à l’athlète, le robot est bourré de capteurs lasers qui lui permettent de détecter la distance entre lui et les obstacles, ainsi que leur volume. Le but de Cheetah, rappelons-le, est avant tout philanthropique : à terme, il devra servir pour des opérations de sauvetage dans des environnements inhospitaliers ou impraticables pour l’homme. Un robot pour sauver des vies, en somme.