C’est une démarche artistique, mais au-delà, un acte militant et politique. Pour dénoncer la pollution en Chine, l’artiste Nut Brother a choisi une initiative pour le moins originale. Derrière l’anecdote, les résultats sont effrayants. Pendant 100 jours, l’artiste chinois est sorti dans les rues de Pékin, muni de son aspirateur à roulettes qui le suivait partout. Il a donc aspiré, aspiré et aspiré l’air de la capitale chinoise. Ce n’est pas une sinécure : un peu plus de trois mois plus tard, il est arrivé à la conclusion suivante, « respirer pendant 100 jours l’air de Pékin revient à manger une brique de poussière », rapporte 20minutes.fr. Il a en effet aspiré ce qui s'apparente à une brique entière de particules solides d’air pollué…
On connaît le degré de pollution des villes chinoises. L’expérience de Nut Brother va encore plus loin. Elle pointe en effet l’impact de la pollution sur la vie quotidienne des Pékinois. Il a posté ses photos sur le réseau social chinois Weibo. La Chine traversant en ce moment un épisode de pollution record, elles ont trouvé un certain écho parmi la population. Même s’il y a actuellement un pic de pollution, la pollution de l’air est constante à Pékin, avec « un niveau de concentration de particules fines PM2.5 », explique 20minutes. Ces particules fines ont « un diamètre inférieur à 2,5 micromètres » et représentent 500 microgrammes par mètre cube d’air en moyenne. À titre de comparaison, on estime en France, qu’un pic de pollution est atteint à 50 microgrammes. La COP21 a lieu en ce moment. On espère qu’elle débouchera sur des mesures concrètes.
On connaît le degré de pollution des villes chinoises. L’expérience de Nut Brother va encore plus loin. Elle pointe en effet l’impact de la pollution sur la vie quotidienne des Pékinois. Il a posté ses photos sur le réseau social chinois Weibo. La Chine traversant en ce moment un épisode de pollution record, elles ont trouvé un certain écho parmi la population. Même s’il y a actuellement un pic de pollution, la pollution de l’air est constante à Pékin, avec « un niveau de concentration de particules fines PM2.5 », explique 20minutes. Ces particules fines ont « un diamètre inférieur à 2,5 micromètres » et représentent 500 microgrammes par mètre cube d’air en moyenne. À titre de comparaison, on estime en France, qu’un pic de pollution est atteint à 50 microgrammes. La COP21 a lieu en ce moment. On espère qu’elle débouchera sur des mesures concrètes.