De quoi démoder la côté basque… Pour les surfeurs britanniques, un simulateur de vagues vient d’être créé à Conwy Valley, au Pays de Galles. Certes, les vagues sont artificielles, mais le surf parc de Snowdonia peut se vanter d’abriter la plus longue vague artificielle du monde. Plus largement, des vagues de 70 centimètres à deux mètres de haut. Et une moyenne de quatre vagues par minute.
C’est peut-être moins vivifiant que l’océan. Mais quand même ! Le surf park de Snowdonia, est un « lagon » long de 113 mètres, grand comme six terrains de football, soit 22 hectares. Dans le monde, il existe déjà des simulateurs de vagues, notamment à Dubaï et aux Canaries. En revanche, le surf parc du Pays de Galles, imaginé par un surfeur et ingénieur espagnol, fonctionne différemment.
Contrairement à ces homologues, comme par exemple, les piscines à vagues, le concept de Jose Manuel Odriozola se distingue : il n’a pas besoin de réservoirs, ni d’une machinerie sous-marine. Ce projet à 17 millions d’euros qui ouvre ses portes cette semaine, repose sur une pale. Cette dernière génère deux vagues qui déferlent régulièrement chaque minute. De quoi surfer pendant vingt secondes, le temps du ride.
« Les vagues sont fantastiques. Toutes les minutes, vous avez la même vague régulière, c’est un moyen formidable pour apprendre et pour progresser. C’est une excellente nouvelle pour le monde du surf », explique à 20 Minutes, Jo Dennison, multiple championne de surf de Grande-Bretagne. De quoi séduire les 75 000 visiteurs attendus chaque année. Et commencer à s'entraîner pour les Jeux Olympiques d’été de Tokyo en 2020 !
C’est peut-être moins vivifiant que l’océan. Mais quand même ! Le surf park de Snowdonia, est un « lagon » long de 113 mètres, grand comme six terrains de football, soit 22 hectares. Dans le monde, il existe déjà des simulateurs de vagues, notamment à Dubaï et aux Canaries. En revanche, le surf parc du Pays de Galles, imaginé par un surfeur et ingénieur espagnol, fonctionne différemment.
Contrairement à ces homologues, comme par exemple, les piscines à vagues, le concept de Jose Manuel Odriozola se distingue : il n’a pas besoin de réservoirs, ni d’une machinerie sous-marine. Ce projet à 17 millions d’euros qui ouvre ses portes cette semaine, repose sur une pale. Cette dernière génère deux vagues qui déferlent régulièrement chaque minute. De quoi surfer pendant vingt secondes, le temps du ride.
« Les vagues sont fantastiques. Toutes les minutes, vous avez la même vague régulière, c’est un moyen formidable pour apprendre et pour progresser. C’est une excellente nouvelle pour le monde du surf », explique à 20 Minutes, Jo Dennison, multiple championne de surf de Grande-Bretagne. De quoi séduire les 75 000 visiteurs attendus chaque année. Et commencer à s'entraîner pour les Jeux Olympiques d’été de Tokyo en 2020 !