Les chiffres font peur. Plus 337%. Oui mais encore ? Selon l’Association américaine des chirurgiens esthétiques, le recours des hommes au Botox a augmenté de 337% depuis une quinzaine d’années, soit depuis le début des années 2000. En 2014, l’augmentation du nombre d’injections de Botox chez les hommes est plus importante que chez la femme. Au total, ce sont 441 000 interventions de ce type qui ont été pratiquées aux États-Unis chez les hommes. Un record. Et un record quelque peu angoissant. Déjà, on en a marre de croiser des femmes au front lisse et brillant, aux expressions sans expressions. En plus, il va falloir s’habituer à croiser des hommes tout pareil, au front lisse etc. Pas sûr. Parce que leurs attentes sont différentes.
Le Botox, ou la toxine botulique fait donc des émules chez les hommes américains. Et également en France. Interrogé par Le Figaro, le docteur Adel Louafi, chirurgien esthétique à Paris, reconnaît : « les hommes représentent aujourd'hui un tiers de mes patients, contre seulement environ 10% il y a quelques années. Ce sont des cadres quadra ou quinqua ». Pour autant, leurs motivations semblent se démarquer de celles des femmes. « Ils veulent avoir l'air moins fatigué, sans que cela se voit », ajoute le Dr Louafi. Si « les hommes acceptent quelques marques de vieillesse, ils ne veulent pas le front lisse, pas de transformation radicale. Par exemple et contrairement aux femmes, ils ne se soucient pas tellement des pattes d'oie ». L’atténuation, voire le comblement des rides d’expression comme la ride du lion sont privilégiés. Selon Le Figaro, c’est souvent « la pression de l'environnement professionnel dans le contexte actuel de crise impose d'avoir l'air toujours plus en forme. » Au secours.
Le Botox, ou la toxine botulique fait donc des émules chez les hommes américains. Et également en France. Interrogé par Le Figaro, le docteur Adel Louafi, chirurgien esthétique à Paris, reconnaît : « les hommes représentent aujourd'hui un tiers de mes patients, contre seulement environ 10% il y a quelques années. Ce sont des cadres quadra ou quinqua ». Pour autant, leurs motivations semblent se démarquer de celles des femmes. « Ils veulent avoir l'air moins fatigué, sans que cela se voit », ajoute le Dr Louafi. Si « les hommes acceptent quelques marques de vieillesse, ils ne veulent pas le front lisse, pas de transformation radicale. Par exemple et contrairement aux femmes, ils ne se soucient pas tellement des pattes d'oie ». L’atténuation, voire le comblement des rides d’expression comme la ride du lion sont privilégiés. Selon Le Figaro, c’est souvent « la pression de l'environnement professionnel dans le contexte actuel de crise impose d'avoir l'air toujours plus en forme. » Au secours.