
Un pays aux besoins énergétiques croissants
La population iranienne augmente de 3% par an. Il s’agit déjà d’un premier demandeur très important en énergie. De plus, la géographie physique du pays attise également la consommation d’énergie. La grande partie du pays est montagneuse et Teheran la capitale est située à 1100m d’altitude.
Il semble difficile dans ce milieu de se passer de radiateurs, de se déplacer à pieds ou encore de manger froid. Alors, il est stratégique pour le pays de s’intéresser de manière tout à fait précise à la réponse en énergie du pays.
Autosuffisance
Le plus important pour un pays au niveau énergétique serait dans l’idéal d’être autosuffisant, c’est-à-dire de ne dépendre d’aucun acteur extérieur pour produite sa propre énergie.
En 2008, la République Islamique d’Iran a publié un tableau qui permettait de gérer la pénurie d’électricité dans le pays. Ainsi, des coupures étaient organisées de manière à éviter un risque grave de convulsion du réseau électrique. Les habitants se retrouvaient donc environ deux heures sans électricité.
Et cette année, Le Ministère de l’énergie et de l’eau iranien a déclaré à la communauté internationale que le pays était en autosuffisance énergétique. C’est sans doute une manière de montrer l’importance du pays à l’échelle mondiale. Il est vrai que les sanctions internationales qui ont frappé l’Iran n’allaient sans doute pas faciliter le chemin vers l’autosuffisance.
Et pourtant, la nouvelle centrale thermique hybride de Pakdasht reste aujourd’hui la plus puissante du Moyen Orient avec ses 2868MW et permet donc avec une augmentation de production de 6% de l’électricité iranienne d’indiquer que le pays est en autosuffisance. La fourniture en pétrole et en gaz est aisée, avec un cours du baril qui reste pour ces pays accessible. La facture d’émission quant à elle explose et c’est sans doute la raison pour laquelle l’Iran s’intéresse aux énergies renouvelables.
Posture de croissance forte de l’énergie renouvelable en Iran
Le gouvernement iranien a décidé de mettre un accélérateur aux énergies renouvelables sur un plan quinquennal. C’est une manière de pallier la déficience en énergie, notamment d’origine nucléaire qui est très fortement réglementée.
L’Iran espère d’ici 2015 produire en énergie renouvelable 2000 MW, c’est-à-dire un peu moins que la plus grosse centrale thermique du Moyen Orient. Le pays s’est déjà doté de presque 9000 MW avec des origines hydroélectriques (barrages) et 130 MW d’origine éolienne.
Dans ce pays à dominante montagneuse, l’énergie d’origine éolienne prend toute son importance. De la même manière, notamment au sud du pays, l’énergie d’origine solaire semble tout à fait bienvenue.
Pour le moment, le pays ne fait qu’accéder à la technologie solaire et à son bon emploi. Cette accession est stratégique pour permettre au pays d’accéder à un niveau de vie plus élevé, puisque la pauvreté ne fait qu’augmenter. La France pourrait fournir un vaste transfert de technologie dans les nouvelles énergies, afin d’aider ce pays dans son développement, tout en confirmant sa ferme position de non-prolifération nucléaire au niveau politique.
La population iranienne augmente de 3% par an. Il s’agit déjà d’un premier demandeur très important en énergie. De plus, la géographie physique du pays attise également la consommation d’énergie. La grande partie du pays est montagneuse et Teheran la capitale est située à 1100m d’altitude.
Il semble difficile dans ce milieu de se passer de radiateurs, de se déplacer à pieds ou encore de manger froid. Alors, il est stratégique pour le pays de s’intéresser de manière tout à fait précise à la réponse en énergie du pays.
Autosuffisance
Le plus important pour un pays au niveau énergétique serait dans l’idéal d’être autosuffisant, c’est-à-dire de ne dépendre d’aucun acteur extérieur pour produite sa propre énergie.
En 2008, la République Islamique d’Iran a publié un tableau qui permettait de gérer la pénurie d’électricité dans le pays. Ainsi, des coupures étaient organisées de manière à éviter un risque grave de convulsion du réseau électrique. Les habitants se retrouvaient donc environ deux heures sans électricité.
Et cette année, Le Ministère de l’énergie et de l’eau iranien a déclaré à la communauté internationale que le pays était en autosuffisance énergétique. C’est sans doute une manière de montrer l’importance du pays à l’échelle mondiale. Il est vrai que les sanctions internationales qui ont frappé l’Iran n’allaient sans doute pas faciliter le chemin vers l’autosuffisance.
Et pourtant, la nouvelle centrale thermique hybride de Pakdasht reste aujourd’hui la plus puissante du Moyen Orient avec ses 2868MW et permet donc avec une augmentation de production de 6% de l’électricité iranienne d’indiquer que le pays est en autosuffisance. La fourniture en pétrole et en gaz est aisée, avec un cours du baril qui reste pour ces pays accessible. La facture d’émission quant à elle explose et c’est sans doute la raison pour laquelle l’Iran s’intéresse aux énergies renouvelables.
Posture de croissance forte de l’énergie renouvelable en Iran
Le gouvernement iranien a décidé de mettre un accélérateur aux énergies renouvelables sur un plan quinquennal. C’est une manière de pallier la déficience en énergie, notamment d’origine nucléaire qui est très fortement réglementée.
L’Iran espère d’ici 2015 produire en énergie renouvelable 2000 MW, c’est-à-dire un peu moins que la plus grosse centrale thermique du Moyen Orient. Le pays s’est déjà doté de presque 9000 MW avec des origines hydroélectriques (barrages) et 130 MW d’origine éolienne.
Dans ce pays à dominante montagneuse, l’énergie d’origine éolienne prend toute son importance. De la même manière, notamment au sud du pays, l’énergie d’origine solaire semble tout à fait bienvenue.
Pour le moment, le pays ne fait qu’accéder à la technologie solaire et à son bon emploi. Cette accession est stratégique pour permettre au pays d’accéder à un niveau de vie plus élevé, puisque la pauvreté ne fait qu’augmenter. La France pourrait fournir un vaste transfert de technologie dans les nouvelles énergies, afin d’aider ce pays dans son développement, tout en confirmant sa ferme position de non-prolifération nucléaire au niveau politique.