Cela s’appelle une « success-story ». Cela s’appelle aussi « le rêve américain »… Bref, une histoire comme les aiment les Américains. Au chômage, Glenn Berger ne sait plus très bien quoi faire pour s'en sortir. Jusqu’au jour où il a une idée lumineuse : celle de ramasser les balles de golf perdues dans les étangs et les greens alentours, nombreux en Floride où il habite. Après les avoir récupérées, la plupart du temps en plongeant au fond de plans d’eau, il les lave puis les revend.
Ainsi, après 14 ans passés à ce rythme, il est devenu millionnaire. C’est en tout cas, ce qu’il affirme. Si les balles étaient perdues pour les joueurs, elles n’étaient donc pas perdues pour tout le monde. Depuis 2000, Glenn Berger a donc écumé tous les golfs de Floride. Et au final, ça valait le coup : il a récolté entre 1,3 et 1,7 millions de balles chaque année. Mytho ? Pas vraiment. C’est possible, affirme le quotidien USA Today qui a essayé de recouper, grâce à des calculs savants, les chiffres avancés par le ramasseur de balles.
Un exemple, cite Le Figaro : sur le golf du « TPC Sawgrass, non loin de Jacksonville, 100 000 balles finissent ainsi chaque année dans l'eau sur un seul trou (le n°17) entouré d'eau. » CQFD. La manne pour Glenn Berger. Une fois qu’il a récolté les balles, il les nettoie, et, retour à l’envoyeur : il les revend aux club de golf qui les utilisent sur les practices. Si les balles les plus chères peuvent se monnayer deux dollars pièce, Glenn Berger, aurait ainsi gagné 15 millions de dollars depuis l’an 2000. De quoi supporter de tomber nez à nez avec des alligators dans les étangs de Floride.
Ainsi, après 14 ans passés à ce rythme, il est devenu millionnaire. C’est en tout cas, ce qu’il affirme. Si les balles étaient perdues pour les joueurs, elles n’étaient donc pas perdues pour tout le monde. Depuis 2000, Glenn Berger a donc écumé tous les golfs de Floride. Et au final, ça valait le coup : il a récolté entre 1,3 et 1,7 millions de balles chaque année. Mytho ? Pas vraiment. C’est possible, affirme le quotidien USA Today qui a essayé de recouper, grâce à des calculs savants, les chiffres avancés par le ramasseur de balles.
Un exemple, cite Le Figaro : sur le golf du « TPC Sawgrass, non loin de Jacksonville, 100 000 balles finissent ainsi chaque année dans l'eau sur un seul trou (le n°17) entouré d'eau. » CQFD. La manne pour Glenn Berger. Une fois qu’il a récolté les balles, il les nettoie, et, retour à l’envoyeur : il les revend aux club de golf qui les utilisent sur les practices. Si les balles les plus chères peuvent se monnayer deux dollars pièce, Glenn Berger, aurait ainsi gagné 15 millions de dollars depuis l’an 2000. De quoi supporter de tomber nez à nez avec des alligators dans les étangs de Floride.