
400. C’est le nombre de distributeurs de cannabis qui vont être mis en place à Vancouver en Colombie Britannique, au Canada. À l’intérieur, pas de sucreries ni de boissons, mais du cannabis... que l’on peut acheter en petites doses. Ainsi, pour l’équivalent de 2 euros 70, (4 dollars canadiens), on peut se procurer un gramme d’herbe. Comme dans les distributeurs classiques, plusieurs catégories, non pas de snacks, sont proposées, mais de marijuana : «Cotton Candy», une herbe qui est connue pour son côté euphorisant, ou un peu plus chère, de la «Purple Kush», ou encore de la «Pink Kush»…
Aujourd’hui, un seul dispensaire de cannabis a été installé, le premier d’une longue série. Selon la British Columbia Pain Society, à l'origine du projet, en tout, 400 distributeurs devraient être disséminés dans la ville. Pourtant, au Canada, le cannabis n’a pas été légalisé comme drogue récréative. En revanche, son usage médical y est autorisé depuis quinze ans.
Depuis peu, la situation est en train d'évoluer, d’un point de vue légal : depuis le mois dernier, les… 30 000 cultivateurs privés comptabilisés au Canada ont eût l’obligation de mettre un terme à leurs cultures illégales. Ces dernières vont être remplacées par des sociétés commerciales, réduites en nombre, mais plus importantes en taille. Pour autant, la police ne valide pas ces futurs distributeurs, qui selon elle, ne sont pas réglementaires.
Dans tous les cas, ces « dispensaires », sont liés à un usage médical du cannabis, considéré comme anti douleur, et pour s’en procurer, il faudra se munir d’une ordonnance ! D’ailleurs, les distributeurs ne vont pas pousser comme des champignons au coin de rues, mais seront installés dans des zones dédiées, dont l’accès ne sera autorisé aux consommateurs qu’à partir de dix-neuf ans. Surtout, les consommateurs, qui sont considérés comme des patients, devront montrer patte blanche, en exhibant une prescription médicale, qu’elle émane d’un médecin ou d’un naturopathe.
Il sera alors possible de rapporter de la marijuana chez soi, ou de la consommer sur place, dans un genre de fumoir spécial cannabis, au-dessus duquel des bouches d’aération seront posées. D’ici quelques temps, de nouveaux distributeurs seront installés dans des centres de convalescence et des hôpitaux. Mais pour les petits malins qui les attendraient sur le quai su métro, l’heure n’est pas encore venue ! Il faudra attendre.
Aujourd’hui, un seul dispensaire de cannabis a été installé, le premier d’une longue série. Selon la British Columbia Pain Society, à l'origine du projet, en tout, 400 distributeurs devraient être disséminés dans la ville. Pourtant, au Canada, le cannabis n’a pas été légalisé comme drogue récréative. En revanche, son usage médical y est autorisé depuis quinze ans.
Depuis peu, la situation est en train d'évoluer, d’un point de vue légal : depuis le mois dernier, les… 30 000 cultivateurs privés comptabilisés au Canada ont eût l’obligation de mettre un terme à leurs cultures illégales. Ces dernières vont être remplacées par des sociétés commerciales, réduites en nombre, mais plus importantes en taille. Pour autant, la police ne valide pas ces futurs distributeurs, qui selon elle, ne sont pas réglementaires.
Dans tous les cas, ces « dispensaires », sont liés à un usage médical du cannabis, considéré comme anti douleur, et pour s’en procurer, il faudra se munir d’une ordonnance ! D’ailleurs, les distributeurs ne vont pas pousser comme des champignons au coin de rues, mais seront installés dans des zones dédiées, dont l’accès ne sera autorisé aux consommateurs qu’à partir de dix-neuf ans. Surtout, les consommateurs, qui sont considérés comme des patients, devront montrer patte blanche, en exhibant une prescription médicale, qu’elle émane d’un médecin ou d’un naturopathe.
Il sera alors possible de rapporter de la marijuana chez soi, ou de la consommer sur place, dans un genre de fumoir spécial cannabis, au-dessus duquel des bouches d’aération seront posées. D’ici quelques temps, de nouveaux distributeurs seront installés dans des centres de convalescence et des hôpitaux. Mais pour les petits malins qui les attendraient sur le quai su métro, l’heure n’est pas encore venue ! Il faudra attendre.