
Il y a eu des précédents et il y aura des « récidives ». Aujourd’hui, qui l’eût cru, les enfants font plier les fabricants de jouets. Sur le thème du genre, vaste sujet, Junior pique une crise parce que la mention « pour les filles » comme il existe la mention « vu à la télé » figure sur l’emballage de son jouet préféré. C’est un exemple. Mais un exemple qui en dit long.
Un peu avant Noël, aux États-Unis et au Royaume-Uni, deux petites filles transformées en Lara Croft pour l’occasion, ont mis à genoux des géants de l’industrie du jouet. Maggie et Parker qui n’ont rien en commun à part faire « genre », ont crisé : sur leurs jouets favoris figurait l’inscription « pour garçons. » dans le premier cas, il s’agissait d’un réveil super-héros. Dans le second, était incriminé un livre sur les insectes.
Les petites filles ont donc fait leur crise. Soutenues par leurs parents quand même, il faut le souligner. Ils n’ont pas envoyé leurs lardons se coucher sans dessert. Que nenni, ils ont posté les photos de leur progéniture en colère sur les réseaux sociaux, l’arme fatale. Résultat, celle de Maggie à cran a été retweetée plus de… 12 000 fois. Oui, oui, vous avez bien lu. L’histoire ne dit pas combien de fois celle de Parker a été reprise, likée, tweetée.
Mais l’histoire dit que les fabricants ont viré manu militari la fameuse mention des emballages de leurs jouets. Quand j’étais enfant, la Game Boy cartonnait, Action Joe était le pendant viril de Barbie, et Barbie s’habillait en rose pour séduire Ken. J’ai quel âge ? Celui de me souvenir de Cabu dans Récré A2…
Un peu avant Noël, aux États-Unis et au Royaume-Uni, deux petites filles transformées en Lara Croft pour l’occasion, ont mis à genoux des géants de l’industrie du jouet. Maggie et Parker qui n’ont rien en commun à part faire « genre », ont crisé : sur leurs jouets favoris figurait l’inscription « pour garçons. » dans le premier cas, il s’agissait d’un réveil super-héros. Dans le second, était incriminé un livre sur les insectes.
Les petites filles ont donc fait leur crise. Soutenues par leurs parents quand même, il faut le souligner. Ils n’ont pas envoyé leurs lardons se coucher sans dessert. Que nenni, ils ont posté les photos de leur progéniture en colère sur les réseaux sociaux, l’arme fatale. Résultat, celle de Maggie à cran a été retweetée plus de… 12 000 fois. Oui, oui, vous avez bien lu. L’histoire ne dit pas combien de fois celle de Parker a été reprise, likée, tweetée.
Mais l’histoire dit que les fabricants ont viré manu militari la fameuse mention des emballages de leurs jouets. Quand j’étais enfant, la Game Boy cartonnait, Action Joe était le pendant viril de Barbie, et Barbie s’habillait en rose pour séduire Ken. J’ai quel âge ? Celui de me souvenir de Cabu dans Récré A2…