
Smeeters, Actimeety, Meetuss, Apérocélib, Revolver… De quoi s’agit-il ? De groupes ou d’applications de rencontre en groupe. Le modèle, venu du Japon, débarque en France. Ces plateformes viennent combler un manque dans l'hexagone : derrière les géants du genre, Tinder ou Adopte un mec, et les 2 000 sites qui se partagent aujourd’hui, ce très lucratif marché des célibataires, elles étaient inexistantes.
Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Et le concept du group dating ou faire des rencontres en groupe est en plein essor. Dans la pratique, on s’inscrit afin de prendre part à des évènements réservés à des célibataires triés sur le volet, « de quatre à plusieurs dizaines », précise le site de 20 Minutes. Résultat, avec ces plateformes, aussi appelées social club ou agences de rencontres, on s’amuse à plusieurs, on multiplie les chances de rencontres, et surtout, terminées, les heures passées seul devant son ordinateur à se prendre un rateau.
D’ailleurs, la plupart du temps sur les sites traditionnels, « l’échange virtuel fausse la rencontre : on idéalise la personne, on la fantasme et à l’arrivée, on est très souvent déçu », explique Sylvain Derouet, l’initiateur d'Apérocélib, à 20 Minutes qui s’est penché sur la typologie des rencontres en ligne. Ainsi, pour éviter les déconvenues, sur les plateformes de group dating, ni profils, ni boîtes mail.
Smeeters et Meetusss proposent des Rencontres à deux groupes d’amis, quand Apérocélib ou Revolver imaginent des évènements entre célibataires. « L’avantage, c’est qu’on évite les situations gênantes, comme les rendez-vous qui donnent envie de prendre ses jambes à son cou au bout de cinq minutes », témoigne un abonné à Revolver, après des expériences infructueuses sur Meetic ou Attractive World. Même si le courant reste réduit, il risque de se développer, et peut-être même, d’accueillir les déçus de Tinder ou de Meetic. Pourquoi ? Parce que l'union fait la force.
Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Et le concept du group dating ou faire des rencontres en groupe est en plein essor. Dans la pratique, on s’inscrit afin de prendre part à des évènements réservés à des célibataires triés sur le volet, « de quatre à plusieurs dizaines », précise le site de 20 Minutes. Résultat, avec ces plateformes, aussi appelées social club ou agences de rencontres, on s’amuse à plusieurs, on multiplie les chances de rencontres, et surtout, terminées, les heures passées seul devant son ordinateur à se prendre un rateau.
D’ailleurs, la plupart du temps sur les sites traditionnels, « l’échange virtuel fausse la rencontre : on idéalise la personne, on la fantasme et à l’arrivée, on est très souvent déçu », explique Sylvain Derouet, l’initiateur d'Apérocélib, à 20 Minutes qui s’est penché sur la typologie des rencontres en ligne. Ainsi, pour éviter les déconvenues, sur les plateformes de group dating, ni profils, ni boîtes mail.
Smeeters et Meetusss proposent des Rencontres à deux groupes d’amis, quand Apérocélib ou Revolver imaginent des évènements entre célibataires. « L’avantage, c’est qu’on évite les situations gênantes, comme les rendez-vous qui donnent envie de prendre ses jambes à son cou au bout de cinq minutes », témoigne un abonné à Revolver, après des expériences infructueuses sur Meetic ou Attractive World. Même si le courant reste réduit, il risque de se développer, et peut-être même, d’accueillir les déçus de Tinder ou de Meetic. Pourquoi ? Parce que l'union fait la force.
