
Elle n’en finit pas de faire fantasmer. Qui ? La Joconde peinte par Léonard de Vinci en 1503. Aujourd’hui, ce sont des scientifiques qui ont réussi à modéliser Mona Lisa en 3D et en « chair » s’il vous plaît. Grâce à l’intelligence artificielle, les chercheurs de l'Institut de l'internet et du multimédia de Paris-La Défense, ont imaginé le logiciel informatique Living Joconde. Ce dernier leur a permis de donner vie à une Joconde en relief et à l'intelligence complètement artificielle.
En version 2.0 cette Joconde à taille réelle, se met en mouvement. Elle est capable d’entrer en interaction avec son entourage. Son visage s’exprime également, bougeant les yeux, adoptant de micro-expressions qui rappellent celle du mécontentement : elle fait « la moue » ou en revanche, celle de la satisfaction, elle sourit. Dans tous les cas, autonome, elle sait ce qu’elle veut : « Elle n'aime pas trop qu'on s'agite, qu'on se colle à elle. C'est un personnage qui fonctionne avec indépendance », raconte le chef de projet Florent Aziosmanoff, au Figaro.
La Kinect dont elle est équipée, saisit les mouvements et les images qui l’entoure. La Mona Lisa numérique peut ainsi interagir avec son environnement. Elle y répond selon son « humeur », explique au Figaro, Jean-Claude Heudin, le directeur de l'Institut de l'internet et du multimédia de Paris-La Défense, partie prenante du projet à la fois « fou (...) artistique et démonstratif. » Et surtout, une somme en matière de recherche.
En effet, le but est d’obtenir « une évolution émotionnelle qui tire partie des expériences, des interactions passées du système », ajoute t-il. Pour les fans, un prototype de camé à porter autour du cou, véritable « bijou connecté » a également été créé avec la maison de joaillerie Mathon. De quoi avoir sur soi, cette icône même le musée quitté. Et pour les toqués, une application est en train d’être mise au point. Comme cela, on pourra même lui envoyer des SMS. Fétichisme ?
En version 2.0 cette Joconde à taille réelle, se met en mouvement. Elle est capable d’entrer en interaction avec son entourage. Son visage s’exprime également, bougeant les yeux, adoptant de micro-expressions qui rappellent celle du mécontentement : elle fait « la moue » ou en revanche, celle de la satisfaction, elle sourit. Dans tous les cas, autonome, elle sait ce qu’elle veut : « Elle n'aime pas trop qu'on s'agite, qu'on se colle à elle. C'est un personnage qui fonctionne avec indépendance », raconte le chef de projet Florent Aziosmanoff, au Figaro.
La Kinect dont elle est équipée, saisit les mouvements et les images qui l’entoure. La Mona Lisa numérique peut ainsi interagir avec son environnement. Elle y répond selon son « humeur », explique au Figaro, Jean-Claude Heudin, le directeur de l'Institut de l'internet et du multimédia de Paris-La Défense, partie prenante du projet à la fois « fou (...) artistique et démonstratif. » Et surtout, une somme en matière de recherche.
En effet, le but est d’obtenir « une évolution émotionnelle qui tire partie des expériences, des interactions passées du système », ajoute t-il. Pour les fans, un prototype de camé à porter autour du cou, véritable « bijou connecté » a également été créé avec la maison de joaillerie Mathon. De quoi avoir sur soi, cette icône même le musée quitté. Et pour les toqués, une application est en train d’être mise au point. Comme cela, on pourra même lui envoyer des SMS. Fétichisme ?