
Dématérialisation oblige, c’est aussi au tour du ticket de métro de passer à la trappe. Valérie Pécresse, la présidente (LR) d'Ile-de-France, l’a annoncé hier dans le Journal du Dimanche : la disparition du ticket de métro est une affaire de quelques années. D’ici quatre à cinq ans, soit en 2021, le ticket de métro dans les transports en commun parisiens n’existera plus.
D’ici là, seront mis en place des « valideurs franciliens » fonctionnant avec des cartes de paiement sans contact. Dans un second temps, un « porte-monnaie transport » va être développé. « Les voyageurs occasionnels pourront charger une somme d'argent sur un passe Navigo anonyme et seront débités du montant du trajet à chaque validation de leur passe, comme avec un billet magnétique », explique Valérie Pécresse, également à la tête du STIF, le Syndicat des transports d'Ile-de-France.
Avec le ticket, le passe Navigo, le titre de transport des abonnés franciliens, va également se dématérialiser. Appelé « Smart Navigo », il commencera à partir de 2018, à fonctionner sur smartphone. Cela permettra, comme le souligne Le Figaro, de « télécharger le forfait de transport directement sur le téléphone. » L’idée est aussi de mettre en place un paiement différé ou « post-paiement » : « facturer aux usagers la tarification la plus avantageuse pour eux, en fonction de leur consommation de transports dans le mois. »
D’ici là, seront mis en place des « valideurs franciliens » fonctionnant avec des cartes de paiement sans contact. Dans un second temps, un « porte-monnaie transport » va être développé. « Les voyageurs occasionnels pourront charger une somme d'argent sur un passe Navigo anonyme et seront débités du montant du trajet à chaque validation de leur passe, comme avec un billet magnétique », explique Valérie Pécresse, également à la tête du STIF, le Syndicat des transports d'Ile-de-France.
Avec le ticket, le passe Navigo, le titre de transport des abonnés franciliens, va également se dématérialiser. Appelé « Smart Navigo », il commencera à partir de 2018, à fonctionner sur smartphone. Cela permettra, comme le souligne Le Figaro, de « télécharger le forfait de transport directement sur le téléphone. » L’idée est aussi de mettre en place un paiement différé ou « post-paiement » : « facturer aux usagers la tarification la plus avantageuse pour eux, en fonction de leur consommation de transports dans le mois. »
