Actualité oblige, devient-on parano ? Même le journaliste Johan Hufnagel a publié un édito dans Libération d’hier, sur sa crainte des sirènes depuis les attentats de novembre dernier. En Anglettere, c’est autre chose, mais à rapprocher toutefois : à Manchester, un bruit étrange angoisse les habitants.
Avant d’en trouver la cause, la population s’est posée pleins de questions : est-ce « un exercice de la caserne des pompiers ? Un barrage qui lâche ? Une menace terroriste ? » rapporte le site de 20minutes.fr. Le son, apparemment angoissant, ressemble à une sirène. Il a mis un certain temps avant d’être identifié. Dans l'intervalle, des internautes se sont emballés et interrogés sur Twitter.
Il s’agit en fait d’un « son » provenant de la la Beetham Tower de Manchester. Cette tour étant une des plus hautes de tout le Royaume-Uni. Oui mais quel est ce « son » émis par la tour ? Juste celui du vent qui se heurte aux parois de verre. « Depuis plusieurs jours, le nord de l’Angleterre essuie de fortes rafales. D’où cette étrange sonnerie sur la Beetham Tower », rapporte 20minutes. Du coup, Ian Simpson, l’architecte a dû s’excuser. Ironie du sort, il habite la tour. Au moins, il sait de quoi il parle.
Avant d’en trouver la cause, la population s’est posée pleins de questions : est-ce « un exercice de la caserne des pompiers ? Un barrage qui lâche ? Une menace terroriste ? » rapporte le site de 20minutes.fr. Le son, apparemment angoissant, ressemble à une sirène. Il a mis un certain temps avant d’être identifié. Dans l'intervalle, des internautes se sont emballés et interrogés sur Twitter.
Il s’agit en fait d’un « son » provenant de la la Beetham Tower de Manchester. Cette tour étant une des plus hautes de tout le Royaume-Uni. Oui mais quel est ce « son » émis par la tour ? Juste celui du vent qui se heurte aux parois de verre. « Depuis plusieurs jours, le nord de l’Angleterre essuie de fortes rafales. D’où cette étrange sonnerie sur la Beetham Tower », rapporte 20minutes. Du coup, Ian Simpson, l’architecte a dû s’excuser. Ironie du sort, il habite la tour. Au moins, il sait de quoi il parle.