
Enfin une bonne idée ! En Suisse, une campagne vient d’être lancée pour contrecarrer l’influence, souvent néfaste des selfies sur les jeunes. On ne peut que s’en réjouir. À l’origine du projet, Pro Juventute, une association spécialisée dans les droits de l’enfant. Après avoir conduit une étude sérieuse - il s’agit de la Suisse - concernant les photos postées sur les réseaux sociaux, il se trouve que les effets sur le bien-être des jeunes sont plutôt mitigés.
Pire, dans l’ensemble, les selfies les rendent malheureux. Pourquoi ? En grande partie parce que les photos postées sur les réseaux sociaux ont tendance à montrer des images flatteuses et positives. En contrepartie, dans bien des cas, elles ont une mauvaise influence sur les jeunes. Les adolescents qui y ont accès ont tendance à se comparer à qu’ils voient. Par conséquence, ils se déprécient et dévalorisent ce qu’ils vivent. Comme les images ne reflètent pas forcément la réalité, tout cela peut porter à confusion, et sévèrement.
Cette étude a été conduite auprès de 1 000 jeunes, âgés de 15 à 19 ans pour le compte de Pro Juventute, par l’institut GFK. Les résultats de cette enquête ont poussé l’association suisse à lancer à partir de cette semaine, une campagne de communication baptisée «La vraie vie». Elle a pour but d'inciter les jeunes à ne pas se fier aux photos postées sur les réseaux sociaux : beaucoup d’entre elles ne reflétant pas la réalité. En effet, 22% des jeunes sondés s’avouent «déstabilisés» devant les selfies qu’ils reçoivent ou consultent. Parfois même, surtout les filles, se disent sujettes à «des crises» en regardant les photos de jeunes de leurs âges.
Ils se comparent à ce qu’ils ou elles voient sur les photos, sans avoir le recul nécessaire pour juger les clichés ou les remettre dans leur contexte. L’apparence est capitale pour les jeunes de cette génération. Tout comme le fait d’être populaire, chercher la reconnaissance. Mais la vie telle qu’elle est montrée sur Instagram ou sur Facebook n’est pas «La vraie vie». Les photos postées sont des images construites dans le but de générer le plus de « likes » possibles, de fabriquer une apparence de toute pièce. On comprend qu’elles puissent fragiliser. Il est facile d’imaginer les dégâts que ces clichés peuvent causer auprès d'adolescents en devenir et en manque de confiance. Si les réseaux sociaux sont positifs, n'oublions pas que parfois, ils peuvent agir comme des fléaux.
Pire, dans l’ensemble, les selfies les rendent malheureux. Pourquoi ? En grande partie parce que les photos postées sur les réseaux sociaux ont tendance à montrer des images flatteuses et positives. En contrepartie, dans bien des cas, elles ont une mauvaise influence sur les jeunes. Les adolescents qui y ont accès ont tendance à se comparer à qu’ils voient. Par conséquence, ils se déprécient et dévalorisent ce qu’ils vivent. Comme les images ne reflètent pas forcément la réalité, tout cela peut porter à confusion, et sévèrement.
Cette étude a été conduite auprès de 1 000 jeunes, âgés de 15 à 19 ans pour le compte de Pro Juventute, par l’institut GFK. Les résultats de cette enquête ont poussé l’association suisse à lancer à partir de cette semaine, une campagne de communication baptisée «La vraie vie». Elle a pour but d'inciter les jeunes à ne pas se fier aux photos postées sur les réseaux sociaux : beaucoup d’entre elles ne reflétant pas la réalité. En effet, 22% des jeunes sondés s’avouent «déstabilisés» devant les selfies qu’ils reçoivent ou consultent. Parfois même, surtout les filles, se disent sujettes à «des crises» en regardant les photos de jeunes de leurs âges.
Ils se comparent à ce qu’ils ou elles voient sur les photos, sans avoir le recul nécessaire pour juger les clichés ou les remettre dans leur contexte. L’apparence est capitale pour les jeunes de cette génération. Tout comme le fait d’être populaire, chercher la reconnaissance. Mais la vie telle qu’elle est montrée sur Instagram ou sur Facebook n’est pas «La vraie vie». Les photos postées sont des images construites dans le but de générer le plus de « likes » possibles, de fabriquer une apparence de toute pièce. On comprend qu’elles puissent fragiliser. Il est facile d’imaginer les dégâts que ces clichés peuvent causer auprès d'adolescents en devenir et en manque de confiance. Si les réseaux sociaux sont positifs, n'oublions pas que parfois, ils peuvent agir comme des fléaux.
