
Un tri sélectif qui n’est plus astreignant
Prenons l’exemple de cette petite bourgade de région parisienne qui figure parmi les cinq plus haut de revenus par habitant de France. Nouvellement élue, la maire souhaite garder l’anonymat… en face de ses 1100 habitants. Lundi, ce sont les déchets verts, mardi les poubelles normales, mercredi les plastiques, jeudi repos, vendredi les poubelles classiques et relâche le week-end. En cinq ans, la taxe ordure ménagère a été multipliée par dix. De plus, la masse des poubelles étant trop importante par habitant, une amende sévère a été distribuée à la commune.
Cette population au fort pouvoir d’achat et à la consommation gâchis débordante s’est bien fait épingler. Le résultat est sans équivoque : donner du plaisir pour permettre de recycler et de faire une bonne action. Certains pourraient les qualifier de gros riches puisque dans cette commune où les enfants sont déposés en voiture de luxe à l’école et où plus de 50% de la population paie l’impôt sur la fortune (ISF), et pourtant payer plus d’impôt tracasse les habitants.
Cet intendant employé par un des plus grand dirigeants du pays, nous indique que le tri sélectif les a fait réfléchir, d’abords ses patrons, et ensuite lui. Ils ont adopté une marche à suivre très intéressante qui a pour but, à l’image des ‘5S’ de ranger et faire que tout soit propre. C’est donc idéal pour vivre mieux.
Un dispositif de tri jetset banal
Le tri sélectif ne sélectionne pas ses utilisateurs. Rmiste ou ISFiste, tous sont à la même enseigne !
Et ces populations ont en commun la régénération et la préservation de notre terre. Dans cette ville immensément riche, pour les entreprises, mais aussi pour les co-locations HLM, le lieu commun s’appelle le recyclage. Fabien de Castilla, l’un des créateurs des Joyeux recycleurs, témoigne du succès de sa vulgarisation du tri.
Cette petite entreprise a mis en place un système qui permet de faciliter le recyclage en toute simplicité, aussi bien pour les personnes qui en ont plein la tête de soucis que de projets. L’information est didactique, et facile à comprendre et à utiliser même pour celui ou celle qui ne veut pas comprendre ! Le résultat est exemplaire : « tri excellent, des clients très satisfaits, une réussite économique, et une diversification vers des opérations de débarras de recyclage » martèle M. de Castilla.
Bref, un service haut de gamme pour un coût qui se transforme en profit et une contrainte qui devient un plaisir. Les débarras deviendront à l’avenir des sources de recyclages, et les déchets seront idéalement valorisés. N’oublions pas que l’idée est bien française et qu’il s’agit bien d’un atout à exporter, n’en déplaise à la politique de recyclage des comm comm.
Prenons l’exemple de cette petite bourgade de région parisienne qui figure parmi les cinq plus haut de revenus par habitant de France. Nouvellement élue, la maire souhaite garder l’anonymat… en face de ses 1100 habitants. Lundi, ce sont les déchets verts, mardi les poubelles normales, mercredi les plastiques, jeudi repos, vendredi les poubelles classiques et relâche le week-end. En cinq ans, la taxe ordure ménagère a été multipliée par dix. De plus, la masse des poubelles étant trop importante par habitant, une amende sévère a été distribuée à la commune.
Cette population au fort pouvoir d’achat et à la consommation gâchis débordante s’est bien fait épingler. Le résultat est sans équivoque : donner du plaisir pour permettre de recycler et de faire une bonne action. Certains pourraient les qualifier de gros riches puisque dans cette commune où les enfants sont déposés en voiture de luxe à l’école et où plus de 50% de la population paie l’impôt sur la fortune (ISF), et pourtant payer plus d’impôt tracasse les habitants.
Cet intendant employé par un des plus grand dirigeants du pays, nous indique que le tri sélectif les a fait réfléchir, d’abords ses patrons, et ensuite lui. Ils ont adopté une marche à suivre très intéressante qui a pour but, à l’image des ‘5S’ de ranger et faire que tout soit propre. C’est donc idéal pour vivre mieux.
Un dispositif de tri jetset banal
Le tri sélectif ne sélectionne pas ses utilisateurs. Rmiste ou ISFiste, tous sont à la même enseigne !
Et ces populations ont en commun la régénération et la préservation de notre terre. Dans cette ville immensément riche, pour les entreprises, mais aussi pour les co-locations HLM, le lieu commun s’appelle le recyclage. Fabien de Castilla, l’un des créateurs des Joyeux recycleurs, témoigne du succès de sa vulgarisation du tri.
Cette petite entreprise a mis en place un système qui permet de faciliter le recyclage en toute simplicité, aussi bien pour les personnes qui en ont plein la tête de soucis que de projets. L’information est didactique, et facile à comprendre et à utiliser même pour celui ou celle qui ne veut pas comprendre ! Le résultat est exemplaire : « tri excellent, des clients très satisfaits, une réussite économique, et une diversification vers des opérations de débarras de recyclage » martèle M. de Castilla.
Bref, un service haut de gamme pour un coût qui se transforme en profit et une contrainte qui devient un plaisir. Les débarras deviendront à l’avenir des sources de recyclages, et les déchets seront idéalement valorisés. N’oublions pas que l’idée est bien française et qu’il s’agit bien d’un atout à exporter, n’en déplaise à la politique de recyclage des comm comm.