
Effectuer le diagnostic précoce de certaines maladies, identifier pour un patient, le risque d’en être atteint, prévoir la vitesse de vieillissement… Ce sont par exemple, les utilisations potentielles du nouveau test sanguin développé par des chercheurs britanniques du King’s College de Londres, sous la houlette du professeur Jamie Timmons. Ce test, ultra innovant, a été développé en s’appuyant sur « 150 marqueurs génétiques présents dans le sang », rapporte le site de 20minutes.fr.
Les résultats ont été publiés au début du mois de septembre dans la revue, Genome Biology. Ce nouvel examen qui se base sur 150 marqueurs génétiques présents dans le sang, permet d’indiquer l’âge biologique d’une personne, comme une « signature génétique » propre et unique. Avec cette signature, il n’y a qu’un pas à franchir pour les scientifiques, afin de déterminer la façon dont un patient va vieillir. Et au-delà, les maladies dont il pourra souffrir. Autant dire, pour la prévention d’éventuelles pathologies, le pas est énorme. Gigantesque même.
Les résultats ont été publiés au début du mois de septembre dans la revue, Genome Biology. Ce nouvel examen qui se base sur 150 marqueurs génétiques présents dans le sang, permet d’indiquer l’âge biologique d’une personne, comme une « signature génétique » propre et unique. Avec cette signature, il n’y a qu’un pas à franchir pour les scientifiques, afin de déterminer la façon dont un patient va vieillir. Et au-delà, les maladies dont il pourra souffrir. Autant dire, pour la prévention d’éventuelles pathologies, le pas est énorme. Gigantesque même.
