
Fliicke, le compteur de fans Facebook
Il n’aime pas les « j’aime pas ». Il, c’est le surpuissant patron de Facebook, Mark Zuckerberg. À tel point qu’on lui soufflerait bien de s’équiper d’un « Fliike », le compteur de fans Facebook Made in France. À moins qu’il ne l’ait déjà. Dans tous les cas, le bouton « Dislike » n’existe pas. Et il semblerait que Mark Zuckerberg ne cède pas à la pression des utilisateurs de Facebook qui souhaiteraient un pendant au fameux bouton « Like ». L’intéressé, estiment les analystes, aurait surtout peur que ces deux boutons n’agissent comme un vote - sanction - ou non, des contenus postés sur le réseau social. Et au final, de hérisser le poil des annonceurs.
On n’est pas à un paradoxe près. Si Mark Zuckerberg souhaite que les utilisateurs de Facebook puissent « liker » et dire haut et fort quelles sont leurs opinions, la touche « Dislike » n’est pour le moment pas un signal qu’il retient. Pire, il n’aime pas. Cette problématique du bouton manquant « je n’aime pas » est récurrente. À nouveau, elle a été posée au fondateur de Facebook la semaine dernière, lors d’une séance ouverte au publique, de questions-réponses. Interrogé pour la énième fois, il a répondu, rapporte le site 20 Minutes.fr : « Nous ne pensons pas que ce soit quelque chose de bénéfique pour le monde ». Ah tiens, le monde… Il doit avoir les chevilles sacrément gonflées Mark Zuckerberg. Qu’on se rassure, avec ses chevilles gonflées, il trouve toutefois bien que les utilisateurs veuillent exprimer « davantage de sentiments ». Ah, ouf, mais pas en n’aimant pas. Tu likes ? Non, je dislike.
On n’est pas à un paradoxe près. Si Mark Zuckerberg souhaite que les utilisateurs de Facebook puissent « liker » et dire haut et fort quelles sont leurs opinions, la touche « Dislike » n’est pour le moment pas un signal qu’il retient. Pire, il n’aime pas. Cette problématique du bouton manquant « je n’aime pas » est récurrente. À nouveau, elle a été posée au fondateur de Facebook la semaine dernière, lors d’une séance ouverte au publique, de questions-réponses. Interrogé pour la énième fois, il a répondu, rapporte le site 20 Minutes.fr : « Nous ne pensons pas que ce soit quelque chose de bénéfique pour le monde ». Ah tiens, le monde… Il doit avoir les chevilles sacrément gonflées Mark Zuckerberg. Qu’on se rassure, avec ses chevilles gonflées, il trouve toutefois bien que les utilisateurs veuillent exprimer « davantage de sentiments ». Ah, ouf, mais pas en n’aimant pas. Tu likes ? Non, je dislike.