
Il faut de tout pour faire un monde. Surtout, le monde n’existerait pas sans micro-nature. C’est une des raisons pour lesquelles, s’est ouvert, cette semaine à Amsterdam aux Pays-Bays, le premier «zoo interactif à microbes». L’institution, une première, a pour but d'exposer ces minuscules organismes qui représentent deux tiers des créatures vivantes sur Terre. Si l’idée peut paraître fantasque, elle est pourtant utile : ces micro organismes sont essentiels pour l'avenir de la planète. Résultat, au zoo Micropia, une grande sélection de microbes est présentée.
À l’origine du projet, le directeur du zoo royal d'Amsterdam, Haig Balian. Il a mis douze ans à mener à bien son idée. 10 millions d’euros plus tard, Micropia a donc ouvert ses portes, non loin du zoo royal. «Les zoos ont tendance à ne montrer qu'une partie de la nature, à savoir les grands animaux», explique t-il, avant d’ajouter dans Le Parisien : «aujourd'hui, nous voulons montrer la micro-nature». Pour ce dernier, les microbes ont toujours été sous-considérés, y compris leur utilité. Pourtant, la microbiologie est une science capitale.
Les microbes font peur. En effet, dans l'inconscient collectif, ils riment souvent avec maladies. Et pourtant, ils sont nécessaires à la vie. Ainsi, le corps de chaque adulte comporte en moyenne, 1,5 kilo de microbes. Si ce n’était pas le cas, on ne survivrait pas. «L'intérêt pour la microbiologie n'augmentera jamais si nous la laissons dans l'obscurité», explique Haig Balian : «nous voulons montrer aux visiteurs que tout est lié dans la nature et que les microbes jouent un rôle fondamental». En effet, les microbes sont appelés à jouer des rôles capitaux dans le futur et pour le futur de l’homme. Il est primordial que des chercheurs en microbiologie puissent avoir accès à tous les domaines, de l’industrie alimentaire, aux industries pétrolière et pharmaceutique, en passant par celui de la santé.
Pour comprendre le rôle vital de ces micro-organismes, il suffit de savoir que certains d’entre eux servent dans l’élaboration de bio-carburants, dans la fabrication de nouvelles familles d'antibiotiques ou à rendre l’agriculture plus performante. Au-delà, ils peuvent être utilisés dans la production d'électricité, la consolidation de bâtiments ou dans la lutte contre le cancer. Et pour l’anecdote, au musée Micropia, les amoureux pourront se rouler des galoches devant le dispositif «Kiss-o-Meter» qui enregistre le nombre de microbes transmis au cours d’un baiser ! Quand on sait que nous avons en moyenne 700 microbes dans la bouche, ça doit faire pas mal !
À l’origine du projet, le directeur du zoo royal d'Amsterdam, Haig Balian. Il a mis douze ans à mener à bien son idée. 10 millions d’euros plus tard, Micropia a donc ouvert ses portes, non loin du zoo royal. «Les zoos ont tendance à ne montrer qu'une partie de la nature, à savoir les grands animaux», explique t-il, avant d’ajouter dans Le Parisien : «aujourd'hui, nous voulons montrer la micro-nature». Pour ce dernier, les microbes ont toujours été sous-considérés, y compris leur utilité. Pourtant, la microbiologie est une science capitale.
Les microbes font peur. En effet, dans l'inconscient collectif, ils riment souvent avec maladies. Et pourtant, ils sont nécessaires à la vie. Ainsi, le corps de chaque adulte comporte en moyenne, 1,5 kilo de microbes. Si ce n’était pas le cas, on ne survivrait pas. «L'intérêt pour la microbiologie n'augmentera jamais si nous la laissons dans l'obscurité», explique Haig Balian : «nous voulons montrer aux visiteurs que tout est lié dans la nature et que les microbes jouent un rôle fondamental». En effet, les microbes sont appelés à jouer des rôles capitaux dans le futur et pour le futur de l’homme. Il est primordial que des chercheurs en microbiologie puissent avoir accès à tous les domaines, de l’industrie alimentaire, aux industries pétrolière et pharmaceutique, en passant par celui de la santé.
Pour comprendre le rôle vital de ces micro-organismes, il suffit de savoir que certains d’entre eux servent dans l’élaboration de bio-carburants, dans la fabrication de nouvelles familles d'antibiotiques ou à rendre l’agriculture plus performante. Au-delà, ils peuvent être utilisés dans la production d'électricité, la consolidation de bâtiments ou dans la lutte contre le cancer. Et pour l’anecdote, au musée Micropia, les amoureux pourront se rouler des galoches devant le dispositif «Kiss-o-Meter» qui enregistre le nombre de microbes transmis au cours d’un baiser ! Quand on sait que nous avons en moyenne 700 microbes dans la bouche, ça doit faire pas mal !
