
La Firme. Contrairement à ce que l’on pourrait penser, il ne s’agit pas du titre d’un James Bond ou d’un blockbuster américain. Mais du nom donné à la famille royale britannique, par le père d’Elisabeth II, le roi George VI. Depuis, la formule perdure. Au-delà du clin d’oeil, La Firme n’a rien d’anecdotique, et particulièrement sur le plan économique.
Aujourd’hui, on peut estimer son poids à 44 milliards de Livres Sterling, soit 51,1 milliards d'euros. À titre de comparaison, c’est davantage que la valeur de Tesco additionnée à celle de Marks & Spencer, les deux géants de la grande distribution britannique !
Et surtout, La Firme fonctionne comme une entreprise. À sa tête, la reine Elisabeth II, autour de qui, gravitent ses enfants ou les membres de sa famille. Le prince Charles par exemple, aficionado de l’agriculture raisonnée, vend sa production biologique - biscuits, confitures, chocolat, cidre, bacon - provenant de la région de Cornouailles, duché plus que rentable, quand son frère cadet, Andrew, commerce avec les monarchies du Golfe. La liste de proches, neveux, cousins, faisant du business avec l’approbation de la reine, est longue.
Au centre de cette organisation, Elisabeth II fait office de super président directeur général. Son entreprise compte 1 200 employés. Mais l’autre cheville ouvrière de cette structure est l’incontournable directeur financier Alan Reid. Ex-associé de la société d’audit KPMG, il s’occupe de la richesse personnelle d’Elisabeth II. Et il y a de quoi faire ! Avec Alan Reid, la banque Coutts, ou le gestionnaire de biens Baring Asset Management, ont pour mission de développer la fortune familiale, qui s’élève à 320 millions de Livres. La Firme peut donc se vanter d’une capitalisation royale !
Aujourd’hui, on peut estimer son poids à 44 milliards de Livres Sterling, soit 51,1 milliards d'euros. À titre de comparaison, c’est davantage que la valeur de Tesco additionnée à celle de Marks & Spencer, les deux géants de la grande distribution britannique !
Et surtout, La Firme fonctionne comme une entreprise. À sa tête, la reine Elisabeth II, autour de qui, gravitent ses enfants ou les membres de sa famille. Le prince Charles par exemple, aficionado de l’agriculture raisonnée, vend sa production biologique - biscuits, confitures, chocolat, cidre, bacon - provenant de la région de Cornouailles, duché plus que rentable, quand son frère cadet, Andrew, commerce avec les monarchies du Golfe. La liste de proches, neveux, cousins, faisant du business avec l’approbation de la reine, est longue.
Au centre de cette organisation, Elisabeth II fait office de super président directeur général. Son entreprise compte 1 200 employés. Mais l’autre cheville ouvrière de cette structure est l’incontournable directeur financier Alan Reid. Ex-associé de la société d’audit KPMG, il s’occupe de la richesse personnelle d’Elisabeth II. Et il y a de quoi faire ! Avec Alan Reid, la banque Coutts, ou le gestionnaire de biens Baring Asset Management, ont pour mission de développer la fortune familiale, qui s’élève à 320 millions de Livres. La Firme peut donc se vanter d’une capitalisation royale !