
Musées, stades et même plages… Dans certains endroits, le selfie - doit-on le rappeler - cet autoportrait pris à bout de bras avec son smartphone est malvenu. De plus en plus. Surtout quand l’opération nécessite cet absurde instrument qu’est la perche à selfie.
Dans les musées déjà, on grince des dents. Les selfies représenteraient une menace pour les œuvres d’art. À trop être photographiées, elles pourraient s’abîmer. C’est sans compter les gens qui ne voient plus les œuvres en « vrai » mais à travers leur mobile. C’est sans compter aussi avec la perche à selfie, gênante pour les visiteurs qui eux souhaitent voir les œuvres en « vrai ».
Exit donc la bien nommée perche à selfie au château de Versailles, au MOMA à New York, au Smithsonian à Washington, à La National Gallery de Canberra et de Londres. Mal lui en a pris, récemment, Fleur Pellerin, le Ministre de la Culture et de la Communication a fait une photo au Musée d’Orsay sans savoir que c’était interdit… Pour sa défense, elle n’a pas utilisé de perche. Ah.
Dans certains stades, en Grande-Bretagne, la tige à selfie a elle aussi été interdite. Motif : qu’elle ne serve pas d’arme entre supporteurs énervés… C’est le cas à Tottenham à Londres et à l’Emirates Stadium d’Arsenal. Ces mesures pourraient marquer le début d’interdictions généralisées.
Et à la plage ? Sur celle de la Garoupe à Antibes, c’est no selfie depuis août dernier. Rester élitiste avant tout. La mairie explique, rapporte M le Magazine du Monde : « Cette plage est l’une des plus glamour et protégées de France, nous voulons que les gens en profitent pleinement sur l’instant, au lieu de passer la majeure partie de leur temps à prendre des photos pour rendre leurs amis jaloux. » Et toc. Une patrouille anti-selfie a même été créée. À quand l'étude sociologique sur l'impact des no selfie zones sur les accrocs du selfie ?
Dans les musées déjà, on grince des dents. Les selfies représenteraient une menace pour les œuvres d’art. À trop être photographiées, elles pourraient s’abîmer. C’est sans compter les gens qui ne voient plus les œuvres en « vrai » mais à travers leur mobile. C’est sans compter aussi avec la perche à selfie, gênante pour les visiteurs qui eux souhaitent voir les œuvres en « vrai ».
Exit donc la bien nommée perche à selfie au château de Versailles, au MOMA à New York, au Smithsonian à Washington, à La National Gallery de Canberra et de Londres. Mal lui en a pris, récemment, Fleur Pellerin, le Ministre de la Culture et de la Communication a fait une photo au Musée d’Orsay sans savoir que c’était interdit… Pour sa défense, elle n’a pas utilisé de perche. Ah.
Dans certains stades, en Grande-Bretagne, la tige à selfie a elle aussi été interdite. Motif : qu’elle ne serve pas d’arme entre supporteurs énervés… C’est le cas à Tottenham à Londres et à l’Emirates Stadium d’Arsenal. Ces mesures pourraient marquer le début d’interdictions généralisées.
Et à la plage ? Sur celle de la Garoupe à Antibes, c’est no selfie depuis août dernier. Rester élitiste avant tout. La mairie explique, rapporte M le Magazine du Monde : « Cette plage est l’une des plus glamour et protégées de France, nous voulons que les gens en profitent pleinement sur l’instant, au lieu de passer la majeure partie de leur temps à prendre des photos pour rendre leurs amis jaloux. » Et toc. Une patrouille anti-selfie a même été créée. À quand l'étude sociologique sur l'impact des no selfie zones sur les accrocs du selfie ?
