Ils sont surnommés les robots tueurs. Dans tous les cas, quel que soit leur nom, les robots sur lesquels le gouvernement norvégien a l’œil, auraient la détente facile. Sans intervention humaine, ils pourraient viser une cible et tirer dessus.
Les robots dont on parle sont des missiles autonomes. Ces derniers, selon le projet du gouvernement de Norvège, seront sensés équiper les nouveaux avions de chasse norvégiens. Dans tous les cas, la mise au point de tels robots interroge.
En effet, ce projet soulève plusieurs questions d’ordre moral. La responsabilité de la machine, en l’occurrence du robot, d’une part est évoquée, dans le cas d’une erreur d’évaluation. Plus largement, se pose la question du futur des soldats s’ils sont remplacés par des humanoïdes.
Et pourtant, si l’ONU, l’Organisation des nations unies, a fait part de ses inquiétudes, tout comme la Ligue norvégienne pour la paix, le ministre de la Défense norvégien, qui est une femme, Ine Eriksen Søreide, ne veut rien entendre. Malgré la pression internationale, elle a donné son aval pour que la société Kongsberg Gruppen, spécialisée dans la défense, continue ses recherches. Cette dernière planche en effet sur la conception de bots à la gâchette facile. Alors, en Norvège, le robot, c'est l’avenir de la défense de l’homme ?
Les robots dont on parle sont des missiles autonomes. Ces derniers, selon le projet du gouvernement de Norvège, seront sensés équiper les nouveaux avions de chasse norvégiens. Dans tous les cas, la mise au point de tels robots interroge.
En effet, ce projet soulève plusieurs questions d’ordre moral. La responsabilité de la machine, en l’occurrence du robot, d’une part est évoquée, dans le cas d’une erreur d’évaluation. Plus largement, se pose la question du futur des soldats s’ils sont remplacés par des humanoïdes.
Et pourtant, si l’ONU, l’Organisation des nations unies, a fait part de ses inquiétudes, tout comme la Ligue norvégienne pour la paix, le ministre de la Défense norvégien, qui est une femme, Ine Eriksen Søreide, ne veut rien entendre. Malgré la pression internationale, elle a donné son aval pour que la société Kongsberg Gruppen, spécialisée dans la défense, continue ses recherches. Cette dernière planche en effet sur la conception de bots à la gâchette facile. Alors, en Norvège, le robot, c'est l’avenir de la défense de l’homme ?