Au Japon, c’est une star. Qui ? Le robot Pepper. Conçu par les Français de la start-up high-tech Aldebaran, détenue à 98% par le goupe japonais Softbank, l’humanoïde est moins connu en France. Mais pas pour longtemps. En effet, depuis cette semaine, l’androïde sympathique et trois de ses « confrères » sont testés dans un magasin Carrefour, situé à Claye-Souilly en Seine-et-Marne.
Chez Carrefour, les humanoïdes Pepper ne sont pas là pour se tourner les pouces : ils doivent « enquêter sur la satisfaction client, divertir les enfants et offrir des renseignements sur la carte de fidélité », explique au Figaro, la direction de Carrefour France. Après avoir conquis le Japon et les Japonais, c’est une première pour Pepper dans la grande distribution en France. L’idée est de « créer une relation engageante avec le client et un service de recommandation », ajoute Julien Seret, le directeur développement et marché professionnel chez Aldebaran.
Aujourd’hui, Pepper séduit par son aspect très « humain ». Du fait de son poids, 29 kilos, et de sa taille. Il mesure 1 mètre 20, ce qui le rapproche d’un enfant de 8 ans environ. Surtout, il est capable de reconnaître les émotions, les visages, et s’adapte en fonction. Après les grandes surfaces et les grands magasins, Pepper pourrait faire son petit bonhomme de chemin au sein de l’entreprise : « Pepper peut s'adapter à toute activité avec un rapport client comme la distribution, l'administration, les assurances ou la banque comme au Japon », explique Julien Seret au Figaro. Et ce n’est qu’un début. Demain, robots et humains travailleront de concert pour plus de compétitivité et un quotidien simplifié.
Chez Carrefour, les humanoïdes Pepper ne sont pas là pour se tourner les pouces : ils doivent « enquêter sur la satisfaction client, divertir les enfants et offrir des renseignements sur la carte de fidélité », explique au Figaro, la direction de Carrefour France. Après avoir conquis le Japon et les Japonais, c’est une première pour Pepper dans la grande distribution en France. L’idée est de « créer une relation engageante avec le client et un service de recommandation », ajoute Julien Seret, le directeur développement et marché professionnel chez Aldebaran.
Aujourd’hui, Pepper séduit par son aspect très « humain ». Du fait de son poids, 29 kilos, et de sa taille. Il mesure 1 mètre 20, ce qui le rapproche d’un enfant de 8 ans environ. Surtout, il est capable de reconnaître les émotions, les visages, et s’adapte en fonction. Après les grandes surfaces et les grands magasins, Pepper pourrait faire son petit bonhomme de chemin au sein de l’entreprise : « Pepper peut s'adapter à toute activité avec un rapport client comme la distribution, l'administration, les assurances ou la banque comme au Japon », explique Julien Seret au Figaro. Et ce n’est qu’un début. Demain, robots et humains travailleront de concert pour plus de compétitivité et un quotidien simplifié.