Les androïdes sont-ils bienvenus dans la vie tous les jours ? À Philadelphie, ce n’est pas vraiment le cas. En effet, un robot autostoppeur a semblé cristalliser l’agacement de certains riverains. Sans préavis, il s’est fait casser la figure. Il s’appelle HitchBOT. Il est au centre d’une expérience sociétale digne d’intérêt. En effet, lancé cet été sur les routes américaines, le but était de voir s’il pouvait faire confiance aux humains. La réponse est non. Si ses aventures ont bien commencé, elles se sont mal terminées. À Philadephie, HitchBOT a en effet été violemment vandalisé… Détruit, tronçonné, démembré. Ces détails dignes d’un film d’horreur sont vrais. Du coup, on se dit que HitchBOT est nommé en référence au film Hitcher…
Pour les chercheurs canadiens de l’université Ryerson à Toronto qui ont mis au point HitchBOT « pour découvrir si les robots pouvaient faire confiance aux humains » rapporte le site de 20 Minutes, la réponse est claire. C’est peut-être le côté bricolé et hétéroclite de HitchBOT qui a déplu : il a en effet été conçu avec des frites de piscine sortant d'un corps cylindrique avec des bottes en plastique et des mains en gants de vaisselle. Pas assez technologique ? Une créature fabriquée par des ingénieurs fous ou blague potache ? C’est vrai que le côté bric et broc décrédibilise HitchBOT, en l’occurrence aux États-Unis.
Car avant cette mésaventure américaine, l’androïde avait traversé sans encombre l’Allemagne et les Pays-Bas et parcouru plus de 6 000 kilomètres Canada. Il faut croire qu’aux États-Unis, ce n’est pas aussi simple. Après moins de 500 kilomètres, il a été stoppé dans sa progression. Et de façon plutôt violente, après avoir tout simplement été démembré. Pas bégueule ni rancunier, HitchBOT a déclaré sur son site : « J'imagine que, parfois, de mauvaises choses arrivent aux gentils robots ! Mon voyage doit prendre fin pour le moment mais mon amour pour les humains ne s'éteindra jamais. » Qu'on se rassure, il va être réparé, et va reprendre la route. HitchBOT, on the road again...
www.hitchbot.me
Pour les chercheurs canadiens de l’université Ryerson à Toronto qui ont mis au point HitchBOT « pour découvrir si les robots pouvaient faire confiance aux humains » rapporte le site de 20 Minutes, la réponse est claire. C’est peut-être le côté bricolé et hétéroclite de HitchBOT qui a déplu : il a en effet été conçu avec des frites de piscine sortant d'un corps cylindrique avec des bottes en plastique et des mains en gants de vaisselle. Pas assez technologique ? Une créature fabriquée par des ingénieurs fous ou blague potache ? C’est vrai que le côté bric et broc décrédibilise HitchBOT, en l’occurrence aux États-Unis.
Car avant cette mésaventure américaine, l’androïde avait traversé sans encombre l’Allemagne et les Pays-Bas et parcouru plus de 6 000 kilomètres Canada. Il faut croire qu’aux États-Unis, ce n’est pas aussi simple. Après moins de 500 kilomètres, il a été stoppé dans sa progression. Et de façon plutôt violente, après avoir tout simplement été démembré. Pas bégueule ni rancunier, HitchBOT a déclaré sur son site : « J'imagine que, parfois, de mauvaises choses arrivent aux gentils robots ! Mon voyage doit prendre fin pour le moment mais mon amour pour les humains ne s'éteindra jamais. » Qu'on se rassure, il va être réparé, et va reprendre la route. HitchBOT, on the road again...
www.hitchbot.me