Loin de la polémique qui agite le Landerneau de l’Internet, la création de la super structure « Alphabet » qui intègre désormais Google, le moment est venu d’en savoir un peu plus sur Sundar Pichai, son nouveau directeur général. Évidemment, étant donné les circonstances, Bloomberg dit de lui, c’est « l’homme le plus puissant du monde. »
Évidemment, il vient d’être nommé directeur général de Google. Si son nom ne dit pas forcément grand chose aux néophytes, il ne sort pas de nulle part pour autant. Loin de là. Chez le géant de l’Internet, le quadra d’origine indienne, a fait une ascension météorique depuis 2004. Depuis des années, il est un proche collaborateur de Larry Page, l’un des fondateurs de Google.
Numéro deux surpuissant jusqu’à maintenant, il s’occupait des domaines stratégiques de l’ingénierie et de la recherche, mais aussi des produits phares de la société de Mountain View en Californie : Google Maps, Android, Google Chrome ou Google Search. Depuis 2013, il était vice-président responsable d’Android, du navigateur Internet Chrome, et des applications pour smartphones et tablettes.
Un parcours sans faute pour le jeune diplômé de l’Institut indien de Technologie de Kharagpur, d’un master de sciences obtenu à l’université de Stanford, référence prestigieuse dans la Silicon Valley et d’un diplôme de gestion d’entreprise de l’université de Pennsylvanie. Bardé de diplômes donc, et rompu au développement de produits high-tech. Ironie du sort, il avait failli être débauché par Twitter en 2011. Son nom avait également été évoqué en 2013, au moment de la démission de Steve Ballmer chez Microsoft.
Sundar Pichai possède « une grande expertise technique, une bonne vision en termes de produits, et un formidable flair entrepreneurial. C’est une combinaison rare, et c’est ce qui fait de lui un grand dirigeant (…) Je me sens très chanceux d’avoir quelqu’un d’aussi talentueux que lui pour diriger un Google légèrement aminci, et ceci me libère du temps pour continuer à faire grandir nos aspirations », a précisé lundi, Larry Page, jusqu’ici directeur général de Google. Il va maintenant occuper ce poste chez Alphabet qui intègre désormais Google comme filiale. Ce qui fait de Sundar Pichai, le deuxième « homme le plus puissant du monde. »
Évidemment, il vient d’être nommé directeur général de Google. Si son nom ne dit pas forcément grand chose aux néophytes, il ne sort pas de nulle part pour autant. Loin de là. Chez le géant de l’Internet, le quadra d’origine indienne, a fait une ascension météorique depuis 2004. Depuis des années, il est un proche collaborateur de Larry Page, l’un des fondateurs de Google.
Numéro deux surpuissant jusqu’à maintenant, il s’occupait des domaines stratégiques de l’ingénierie et de la recherche, mais aussi des produits phares de la société de Mountain View en Californie : Google Maps, Android, Google Chrome ou Google Search. Depuis 2013, il était vice-président responsable d’Android, du navigateur Internet Chrome, et des applications pour smartphones et tablettes.
Un parcours sans faute pour le jeune diplômé de l’Institut indien de Technologie de Kharagpur, d’un master de sciences obtenu à l’université de Stanford, référence prestigieuse dans la Silicon Valley et d’un diplôme de gestion d’entreprise de l’université de Pennsylvanie. Bardé de diplômes donc, et rompu au développement de produits high-tech. Ironie du sort, il avait failli être débauché par Twitter en 2011. Son nom avait également été évoqué en 2013, au moment de la démission de Steve Ballmer chez Microsoft.
Sundar Pichai possède « une grande expertise technique, une bonne vision en termes de produits, et un formidable flair entrepreneurial. C’est une combinaison rare, et c’est ce qui fait de lui un grand dirigeant (…) Je me sens très chanceux d’avoir quelqu’un d’aussi talentueux que lui pour diriger un Google légèrement aminci, et ceci me libère du temps pour continuer à faire grandir nos aspirations », a précisé lundi, Larry Page, jusqu’ici directeur général de Google. Il va maintenant occuper ce poste chez Alphabet qui intègre désormais Google comme filiale. Ce qui fait de Sundar Pichai, le deuxième « homme le plus puissant du monde. »