
Evolution du besoin des consommateurs
Le trafic de lettres et d’envois postaux baisse d’année en année. Les prévisions ne sont pas favorables avec un marché qui perd 6% chaque année. Internet a pris le pas : plus rapide, gratuit et sans contrainte sauf peut-être de posséder un ordinateur et d’être relié à la toile.
Les consommateurs ont modifié leurs habitudes en termes de courrier, et surtout en ville. Les bureaux de postes actuels sont ouverts aux horaires de bureaux, et le samedi matin. Du coup, la file d’attente est longue en ce début de week-end où les opérations sont extrêmement diverses : dépose de courrier, prise de recommandé, opérations bancaires, sans oublier la philatélie.
Alors, le patron de La Poste a en tête de transformer les bureaux des villes en relais de poste, un peu à la manière de ce qui est opéré en province et en campagne. A Paris par exemple, les bureaux de postes se situent dans la plupart des cas à moins de 200m du domicile de l’intéressé. Or la loi stipule qu’un bureau de poste doit se trouver à moins de vingt minutes du domicile de l’intéressé en voiture ou à moins de cinq kilomètres.
Alors, la transformation de bureaux de poste en point relais semble tout à fait recevable dès lors que le service s’améliore tant du point de vue de la plage horaire d’ouverture, que de la diversité des services.
Nécessaire amélioration de la performance
Il s’agit donc d’améliorer l’efficience de point de liaison de la Poste avec ses clients. Les points relais dans les villes seront calqués sur ceux de province, grâce à un succès des partenariats entre communautés de communes, petits commerçants et mairies.
En outre, les point relais dans les villes disposeront de guichets attrayants, qui sont capables d’accueillir toutes les demandes, qu’elles soient postales ou bancaires. La rapidité d’exécution sera aussi un paramètre déterminant.
Il sera donc fini le temps d’attente interminable qui peut durer plus de vingt minutes à un guichet dans une ambiance survoltée et une torpeur insupportable.
Derrière tout cela se cachent des économies. Par exemple, les points relais pourraient être ouverts dans les grandes gares avec des amplitudes d’ouverture horaires importantes. Ceci permettrait ainsi de fermer des bureaux de postes aux alentours trop coûteux et qui pourraient faire double emploi. Or, la loi impose aussi à La Poste le maintien de 17 000 points poste en France. Mais jusqu’à quand, compte-tenu des subventions qui peuvent devenir avec le temps exorbitantes.
Cette volonté de performance est vouée à rapporter (ou plutôt) à économiser 500 millions d’euros pour le Groupe privé. Le changement c’est donc maintenant pour le courrier…
Le trafic de lettres et d’envois postaux baisse d’année en année. Les prévisions ne sont pas favorables avec un marché qui perd 6% chaque année. Internet a pris le pas : plus rapide, gratuit et sans contrainte sauf peut-être de posséder un ordinateur et d’être relié à la toile.
Les consommateurs ont modifié leurs habitudes en termes de courrier, et surtout en ville. Les bureaux de postes actuels sont ouverts aux horaires de bureaux, et le samedi matin. Du coup, la file d’attente est longue en ce début de week-end où les opérations sont extrêmement diverses : dépose de courrier, prise de recommandé, opérations bancaires, sans oublier la philatélie.
Alors, le patron de La Poste a en tête de transformer les bureaux des villes en relais de poste, un peu à la manière de ce qui est opéré en province et en campagne. A Paris par exemple, les bureaux de postes se situent dans la plupart des cas à moins de 200m du domicile de l’intéressé. Or la loi stipule qu’un bureau de poste doit se trouver à moins de vingt minutes du domicile de l’intéressé en voiture ou à moins de cinq kilomètres.
Alors, la transformation de bureaux de poste en point relais semble tout à fait recevable dès lors que le service s’améliore tant du point de vue de la plage horaire d’ouverture, que de la diversité des services.
Nécessaire amélioration de la performance
Il s’agit donc d’améliorer l’efficience de point de liaison de la Poste avec ses clients. Les points relais dans les villes seront calqués sur ceux de province, grâce à un succès des partenariats entre communautés de communes, petits commerçants et mairies.
En outre, les point relais dans les villes disposeront de guichets attrayants, qui sont capables d’accueillir toutes les demandes, qu’elles soient postales ou bancaires. La rapidité d’exécution sera aussi un paramètre déterminant.
Il sera donc fini le temps d’attente interminable qui peut durer plus de vingt minutes à un guichet dans une ambiance survoltée et une torpeur insupportable.
Derrière tout cela se cachent des économies. Par exemple, les points relais pourraient être ouverts dans les grandes gares avec des amplitudes d’ouverture horaires importantes. Ceci permettrait ainsi de fermer des bureaux de postes aux alentours trop coûteux et qui pourraient faire double emploi. Or, la loi impose aussi à La Poste le maintien de 17 000 points poste en France. Mais jusqu’à quand, compte-tenu des subventions qui peuvent devenir avec le temps exorbitantes.
Cette volonté de performance est vouée à rapporter (ou plutôt) à économiser 500 millions d’euros pour le Groupe privé. Le changement c’est donc maintenant pour le courrier…