
La fin du Vélib’ tel qu’on le connaît ? C’est possible ! D’ici deux ans, le vélo parisien en auto-partage pourrait bien disparaître. Au profit de quoi ? D’un vélo semi-électrique sur lequel les ingénieurs de la société de mobilier urbain JC Decaux, à l’origine du Vélib’, planchent déjà. Ce nouveau modèle pourrait réjouir les parisiens qui grimpent à Montmartre et à Belleville : le vélo électrique, c'est le bon moyen pour ne pas trop se fatiguer. Dans tous les cas, le prototype de JC Decaux sera en compétition avec celui d’autres constructeurs. Verdict en 2017.
Celui de JC Decaux, s’appelle E-VL. Vélo électrique à usage commun, il permet de passer d’un vélo classique à un vélo à assistance électrique. La batterie portative dont il est muni, et qui s'aimante au niveau du guidon, permet à l’utilisateur « d’électrifier » son vélo. La batterie « alimentera un moteur situé sur la roue avant », rapporte Le Point. L’abonnement au vélo comprendra donc cette petite batterie. Elle permettra une autonomie de 10 kilomètres, et surtout, de laisser l’utilisateur souffler dans les côtes.
Comme pour les autres modèles de vélos électriques, « la puissance fournie sera proportionnelle à l'effort demandé par l'usager », précise encore Le Point. Donc, il faudra encore un peu pédaler ! Evidemment, car c’est la grosse tendance, et l’avenir, la batterie sera connectée au smartphone de l’utilisateur. Elle indiquera la consommation et la réserve d’énergie. Histoire de ne pas tomber en panne. Au pire, dans ce cas, il faudra pédaler, même si on doit monter la butte Montmartre !
Celui de JC Decaux, s’appelle E-VL. Vélo électrique à usage commun, il permet de passer d’un vélo classique à un vélo à assistance électrique. La batterie portative dont il est muni, et qui s'aimante au niveau du guidon, permet à l’utilisateur « d’électrifier » son vélo. La batterie « alimentera un moteur situé sur la roue avant », rapporte Le Point. L’abonnement au vélo comprendra donc cette petite batterie. Elle permettra une autonomie de 10 kilomètres, et surtout, de laisser l’utilisateur souffler dans les côtes.
Comme pour les autres modèles de vélos électriques, « la puissance fournie sera proportionnelle à l'effort demandé par l'usager », précise encore Le Point. Donc, il faudra encore un peu pédaler ! Evidemment, car c’est la grosse tendance, et l’avenir, la batterie sera connectée au smartphone de l’utilisateur. Elle indiquera la consommation et la réserve d’énergie. Histoire de ne pas tomber en panne. Au pire, dans ce cas, il faudra pédaler, même si on doit monter la butte Montmartre !